À Bruxelles, l’hiver est long, humide et imprévisible. Pour les livreurs, il n’est pas seulement une saison : c’est une épreuve quotidienne. La pluie, le froid et le vent transforment chaque livraison en parcours du combattant. Pourtant, certains arrivent à rouler presque confortablement, même en janvier, quand d’autres terminent la journée trempés jusqu’aux os. La différence ? L’équipement et quelques habitudes bien choisies.
1. S’habiller en couches
La règle d’or : ne jamais sortir avec un simple gros manteau. Trois couches valent mieux qu’une.
- Sous-vêtement thermique (léger mais chaud, qui garde le corps au sec).
- Pull technique ou polaire pour conserver la chaleur.
- Coupe-vent imperméable respirant, qui bloque pluie et rafales.
L’astuce : privilégier les vêtements ajustés pour éviter que l’air froid s’engouffre.

2. Gants et chaussures : les points faibles
Rien n’est pire que des doigts gelés ou des chaussures trempées.
- Gants chauffants (à batterie) : un luxe qui peut sauver les articulations.
- Surbottes en caoutchouc ou chaussettes imperméables : indispensables pour ceux qui roulent toute la journée.
Certains livreurs bricolent même avec des sacs plastiques entre la chaussure et la chaussette : ce n’est pas élégant, mais ça fonctionne.
3. Le scooter sous la pluie
- Vérifier l’état des pneus : sur sol mouillé, un pneu usé devient une patinoire.
- Graisser régulièrement la chaîne ou surveiller la transmission.
- Monter un pare-brise : ça ne fait pas tout, mais ça réduit le vent direct sur la poitrine.

4. Le mental, carburant essentiel
Rouler dix heures sous la flotte use plus le moral que les muscles. Certains écoutent de la musique ou des podcasts pour oublier la pluie. D’autres prennent ça comme un défi quotidien. L’important, c’est d’avoir un petit rituel de motivation : un café brûlant avant de partir, un rendez-vous avec d’autres livreurs, ou même la promesse d’une bonne douche chaude à la fin de la journée.
👉 Moralité : il n’existe pas de mauvais temps, seulement de mauvais équipements. Celui qui s’arme correctement traverse l’hiver sans trop de casse, pendant que les autres comptent les jours jusqu’au retour du soleil.À Bruxelles, l’hiver est long, humide et imprévisible. Pour les livreurs, il n’est pas seulement une saison : c’est une épreuve quotidienne. La pluie, le froid et le vent transforment chaque livraison en parcours du combattant. Pourtant, certains arrivent à rouler presque confortablement, même en janvier, quand d’autres terminent la journée trempés jusqu’aux os. La différence ? L’équipement et quelques habitudes bien choisies.
1. S’habiller en couches
La règle d’or : ne jamais sortir avec un simple gros manteau. Trois couches valent mieux qu’une.
- Sous-vêtement thermique (léger mais chaud, qui garde le corps au sec).
- Pull technique ou polaire pour conserver la chaleur.
- Coupe-vent imperméable respirant, qui bloque pluie et rafales.
L’astuce : privilégier les vêtements ajustés pour éviter que l’air froid s’engouffre.
2. Gants et chaussures : les points faibles
Rien n’est pire que des doigts gelés ou des chaussures trempées.
- Gants chauffants (à batterie) : un luxe qui peut sauver les articulations.
- Surbottes en caoutchouc ou chaussettes imperméables : indispensables pour ceux qui roulent toute la journée.
Certains livreurs bricolent même avec des sacs plastiques entre la chaussure et la chaussette : ce n’est pas élégant, mais ça fonctionne.
3. Le scooter sous la pluie
- Vérifier l’état des pneus : sur sol mouillé, un pneu usé devient une patinoire.
- Graisser régulièrement la chaîne ou surveiller la transmission.
- Monter un pare-brise : ça ne fait pas tout, mais ça réduit le vent direct sur la poitrine.
4. Le mental, carburant essentiel
Rouler dix heures sous la flotte use plus le moral que les muscles. Certains écoutent de la musique ou des podcasts pour oublier la pluie. D’autres prennent ça comme un défi quotidien. L’important, c’est d’avoir un petit rituel de motivation : un café brûlant avant de partir, un rendez-vous avec d’autres livreurs, ou même la promesse d’une bonne douche chaude à la fin de la journée.

👉 Moralité : il n’existe pas de mauvais temps, seulement de mauvais équipements. Celui qui s’arme correctement traverse l’hiver sans trop de casse, pendant que les autres comptent les jours jusqu’au retour du soleil.