Auteur : Karim, livreur à moto à Ixelles
Chère Gazette,
Juste une question simple : c’est quand qu’on aura un syndicat de livreurs météo-dépendants ?
Parce qu’entre la pluie, le vent, la neige, la canicule, et maintenant les alertes orages niveau 42, on devrait être classés « métier à haut risque climatique ».
L’autre jour, j’ai livré 8 commandes trempé comme un Cornetto sorti du congélo. Et le client me dit : « Ah bon, vous travaillez encore par ce temps-là ? ».
Non monsieur, je suis là pour les photos.
Réponse de la Gazette
Salut Karim,
On valide à 300 %. Tu pourrais faire breveter la mention « livreur Cornetto ».
Tu résumes exactement ce qu’on vit : pas de pause météo, pas de prime tempête, pas même un merci. Mais tu sais quoi ? T’as le mérite de garder ton humour au sec, et ça, c’est une force.
On te déclare officiellement « chef des livreurs météo-sensibles de Bruxelles ».